Je prends la route pour plus de 100km pour aller chez un client pour signer un gros contrat. Il fait assez chaud dehors, le mois d’aout est torride. En arrivant au péage il y a un auto-stoppeur avec un gros sac à dos. Il frappe à mon carreau et me demande gentiment si je vais en direction de Lyon. Je lui propose de le déposer avant car je ne vais pas jusqu’à cette destination.

On prend la route les fenêtres légèrement ouverte car je n’ai pas la clim dans la voiture. On discute de la raison de son voyage et il me dit qu’il va rejoindre une bande de potes. Très vite on en vient à parler des fistas qu’ils font et de leurs conquêtes féminines lors de leurs soirées et la discussion devient de plus en plus chaude. Je m’étonne moi-même car Fred, c’est son nom, me parle librement et j’apprécie beaucoup. J’imagine chaque moment qu’il me décrit, les filles qu’ils draguent et je ne sais pas si la chaleur aidant, je sens une excitation montée et l’ambiance y étant pour beaucoup.

Je propose à Fred de s’arrêter sur une aire de repos pour se rafraichir et lui offrir un verre. On s’arrête à la première station et on se prend un soda bien frais. J’ai du sortir ma chemise de mon pantalon pour cacher une légère érection qui pourrait me trahir. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, je bande rien qu’à écouter ses histoires. Il faut absolument que je me soulage, car je sens que mon excitation ne baissera pas comme ca. Je m’excuse et laisse Fred pour partir aux toilettes.

La clim de la station me fait du bien, je m’enferme dans un toilette, baisse mon pantalon et libère mon sexe pour le prendre en main. Je commence à me branler lentement tout en me rappelant une histoire que Fred vient de me raconter. D’un coup j’entends Fred qui m’appelle. T’es là ? Merde, juste au moment où j’allais jouir ! Je remonte mon pantalon rapidement tout en lui disant que j’arrive.

On remonte dans la voiture et on reprend la route très gêné et surtout frustrer de ne pas avoir eu le temps de jouir. Fred se tourne vers moi et me dit : 

« ben qu’est ce que tu foutais dans les chiottes, tu branler quoi ? »

Je le regarde un peu timide et lui dis qu’il ne pouvait pas mieux dire.

« Comme tu le dis, je me branlais »

Il me sourit et rougit un peu. Il me propose de me raconter encore une petite histoire et il sait que ca va m’exciter. Je me demande dans quel état d’esprit il est lui ? Est-ce qu’il est excité ? Je jette un œil sur son entre jambe et je vois qu’il a une main sur son sexe.

« Je vois qu’il n’y a pas que moi qui suis bandé ! »

« Exact ! Mais ces je les ai vécues mais ce qui m’excite c’est de savoir que ca te fait bander »

Nous sommes tous les deux la queue raide et très excité. Je le regarde et sa main est maintenant active et il se caresse.

« Ca ne te dérange pas si je me caresse pendant que tu conduit ? »

« Heu non je trouve ca même très excitant »

« Mais toi tu conduis et tu ne peux pas te caresser, c’est dommage non ? »

« Si je peux déboutonner mon pantalon et me caresser en conduisant »

« Ca pourrait être dangereux, tu dois avoir les deux mains sur le volant, par contre je peux te caresser si tu veux »

Là j’ai eu une grosse chaleur, non c’est pas du au soleil mais à cette proposition. Je suis quand même à l’aise avec Fred et je réponds un oui un peu timide.

Sa main se pose sur mon sexe au travers de mon pantalon et il me caresse doucement. Il m’avoue que c’est une première pour lui et je lui avoue que c’est une première pour moi aussi. Il descend la fermeture éclaire et je remonte les fesses pour lui donner plus de facilité pour sortir mon sexe. Je suis libéré et il a ma queue dans sa main gauche. Il descend son short et je découvre sa queue. Quel étrange sensation, me faire caresser par un homme et en plus que je ne connais pas. Son sexe est droit, un peu plus petit que le mien mais bien plus gros.

J’ai envie que ce moment dur alors je ralentis ma vitesse. Je propose à Fred de s’arrêter sur une nouvelle aire pour qu’on soit tranquille. Cette aire est déserte, super ! Je me gare, coupe le contact et on détache nos ceintures. Je veux prendre mon sexe en main mais Fred souhaite continuer de me branler et me demande de me laisser faire. Sans rien dire, je prends l’initiative de le branler et il se laisse faire. C’est la première fois que je touche le sexe d’un homme, ca fait bizarre.

« Stop Fred, arrête tu vas me faire jouir ! »

Il stop tout de suite il me sourit.

« Hum c’est très excitant de savoir que t’es sur le point de jouir ! »

« Cette situation est toute nouvelle pour moi, je n’ai jamais eu la main d’un homme sur ma queue et je suis hétero »

« Moi aussi je suis hétéro, mais c’étais un et tu le réalise avec moi »

« C’est quelque chose que je n’avais jamais imaginée »

« Et si je te propose d’aller plus loin et que tu sentes ma langue sur ta queue ? T’aimerais ? »

« Ca fait partie aussi de ton fantasme ? »

« Oui c’est vrai, pour tout te dire, mon fantasme serait là de te sucer et que tu me jouisses sur le visage, un fantasme de soumission en même temps, être la salope d’un homme »

J’ai le cœur qui bat à 100 à l’heure en écoutant sa proposition et j’ai très envie de l’aider à réaliser son fantasme qui devient le mien en même temps.

« Ok, alors voilà ce que je te propose Fred, je vais réaliser ton fantasme et tu es en train de me faire découvrir une envie qui se cache en moi. A partir de maintenant, puisque tu as envie d’être la salope d’un mec alors tu vas être ma petite chienne ! »

Il me répond oui d’un petit signe de la tête. Je décide de me lâcher complètement, pourquoi jouer les timides alors qu’il veut que je maitrise la situation.

« Si tu veux être ma salope alors je veux pouvoir tout tester avec toi »

« Tout tester ? »

« Oui, j’ai envie que tu me suces mais j’ai aussi envie de t’enculer, tu serais d’accord ? »

« Oh oui, là j’aurais la totale ! »

« On est d’accord donc maintenant je veux que tu ailles dans les toilettes qui sont là-bas, mais avant, tu vas prendre ces préservatifs. Je dois passer un coup de fil pour annoncer mon retard. Sors et ouvre le coffre de la voiture, ouvre la caisse à outil et prend un outil de ton choix. Une fois dans les toilettes, tu lui mettras une capote et tu te caresseras le cul avec. J’ai pas envie de forcer pour te baiser »

Sans un mot, Fred prends les deux préservatif que je lui donne et sors de la voiture et s’exécute. Je le regarde dans le rétro et je vois qu’il a pris un marteau avec un manche assez gros. Je prends mon téléphone et j’appelle mon client qui m’excuse car il est également en retard. Il ne serait quand même pas dans la même situation que moi le cochon ? lol

Je sors et ferme la voiture avant de rejoindre Fred. J’ouvre la porte des toilettes et je le vois complètement à poil. Le salaud, qu’il est bien musclé ! Il est cambré et caresse son cul avec le manche capoté et se branle en même temps. Je ferme la porte à clé et je sors ma queue.

« Alors ma petite salope, t’as envie de me sucer ? »

« vite donne moi ta queue que je l’avale »

« Doucement, je ne veux pas jouir trop vite ! »

Fred tire la langue et lèche mon gland tout en me regardant droit dans les yeux. Hum que c’est bon, qu’elle salope ce mec ! Il va me faire découvrir l’inimaginable jusqu’à ce jour. J’attrape ses cheveux et lui demande d’ouvrir la bouche au max et j’enfonce ma queue jusqu’au font de sa gorge. Je suis au fond mais il essaye de m’enfoncer encore plus. C’est qu’il en veut !

Pendant qu’il me suce, il a le manche dans le cul, il est à genoux et ses mains viennent caresser mes fesses.

« Qui t’a autorisé à me caresser les fesses ? »

Il retire ses mains pour chopper ma queue et mes couilles. Il me branle et viens lécher mes bourses. Je lève une jambe pour lui donner plus de place. Il me lèche d’une façon que je ne connaissais pas.

« Tu suces très bien tu sais, lève toi maintenant, il est temps pour toit de te faire dépuceler la rondelle et pour moi de découvrir le cul d’un mec »

Toujours sans un mot il s’exécute et me présente son cul avec le manche. Je le retire doucement en lui écartant les fesses pour garder son cul ouvert. Je choppe une capote que j’enfile rapidement. Mon gland entre sans difficulté sans ce cul étroit et Fred se mets à gémir très fort tout en se branlant. Je fais des vas et vient et j’accélère le rythme.

« Alors ma salope, t’aime te faire enculer ?

« Oui j’adore, c’est trop bon, encule moi fort, plus fort »

Je m’active fortement mais je sens ma sève monter au bout de quelques minutes. Très vite je me retire de son trou bien ouvert et je dégage la capote.

« Tourne toi et montre moi ton petit visage que je jouisse dessus »

Il s’assoie par terre et j’ai la queue au dessus de lui. Il tire la langue pour pouvoir gouter à mon sperme. Je me branle en le regardant.

« Tiens prends ca ma salope, ouiiii !!! »

Mon sperme sort de mon gland et je lui gicle sur le visage et dans la bouche. Il en a même dans les cheveux. Je ne veux pas laisser une goute et je lui enfourne ma queue à nouveau dans la bouche pour qu’il me nettoie.

« Putain, qu’est ce que c’est bon ! »

« J’adore, t’as étais un maitre et tu m’as enculé avec une grande délicatesse. Sans compter que ton jus et chaud et bon »

Il a gouté à mon sperme et l’a avalé goulument. Mais lui il n’a pas jouis encore. Je m’approche de lui et je chope sa queue et le branle, il mérite bien sa jouissance. Il résiste et se retient de jouir.

« Tu ne jouis pas ? »

« Si j’en ai très envie mais… »

« Mais quoi Fred ? »

« Tu ne voudrais pas gouter à mon foutre ? »

Mon sang ne fit qu’un tour. J’ai déjà dépassé beaucoup de mes inavouables envies. Ai-je le courage et l’envie ?

« Tu m’as offert ta bouche, tu m’as offert ton cul et j’ai adoré t’enculer comme une salope. J’ai fais beaucoup de chose que je ne pensais jamais faire 

Je vois son visage qui change pendant que je lui parle.

« C’est la journée de la découverte pour moi avec tout ça alors continuons et amène moi ta queue que je la goute »

Il sourit et il est ravi.

Timidement je prends sa queue dans la main et j’ouvre la bouche. Sans me poser de question je me décide et l’englouti. Hum, ça y est, je comprends ces femmes, celles qui disent aimer sucer des queues. C’est génial comme sensation, c’est très excitant et ca me refais bander alors je me branle à nouveau.

Fred est sur le point de jouir, je le sens et il me prévient pour que je décide de le garder en bouche ou pas. De peur du gout je décide de le retirer mais je le laisse jouir sur mon visage. Son foutre chaud coule sur mon visage et je jouis très vite pour la deuxième fois. Mon jus coule sur le sol.

Fred prend sa queue et étale son sperme sur mon visage. Je choppe sa queue et je la lèche une dernière fois pour en fait gouter son jus. Un gout que je ne trouve pas extra et je ne regrette pas qu’il est jouis sur mon visage.

Cet instant m’a paru une éternité mais il n’a durée qu’une dizaine de minutes. Après s’être vite nettoyé, on retourne à la voiture, une femme arrive et nous regarde, j’ai l’impression qu’elle nous fixe en sachant tout ce qu’il s’est passé, comme s’il nous resté du sperme sur le coin de la bouche. Si seulement elle savait.

On reprit la route tranquillement et jusqu’à ce qu’on arrive au péage où je devais déposer Fred, ma petite salope s’était endormie.

Je l’ai déposé mais avant de se quitter, on a échangé nos numéros de téléphone pour essayer de remettre ça ou pourquoi pas le rejoindre un jour dans une fiesta avec ses potes.

Je n’ai pas manqué de le rappeler quelques semaines après mais ça c’est une autre histoire.

Un commentaire pour “L’auto-stoppeur”

  1. Il y a des femmes qui adorent se faire enculer et d’autres qui n’aiment pas du tout.Elle s’affolent dé que la bite est en contact avec leur trou du cul, c’est dommage car toutes les femmes devaient aimer recevoir une bonne bite dans leur cul d’amour.
    Merci de commenter mes dames

Laissez un commentaire

Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.

« »