Ce texte est la suite de En apesenteur 1ère Partie

 

Elle commença à entamer sa descente et ses lèvres quittèrent les miennes pour parcourir mon torse de haut en bas. Me regardant de son air joueuse, elle reprit mon gland en bouche et se remis à me le lécher comme si il s’agissait d’une sucrerie. Ses mains massèrent mes bourses, je poussais alors un petit gémissement car elle me dévora d’un coup et faisant un léger va et vient. Tout en me gardant en bouche, elle fit une rotation sur elle-même ce qui entraîna que je sentais à présent sa langue sur l’ensemble de ma verge tout en continuant le rythme qu’elle avait débuté. J’allais exploser en elle à cette allure et je la fis comprendre, elle se retira et me masturba. Son corps était perpendiculaire au mien, je pouvais admirer l’ensemble de cette sirène qui me faisait perdre la tête. C’est dans un cri de joie que je jouis plusieurs jets qui flottaient vers celle qui m’avait procuré ce plaisir. Elle en récupéra quelques uns pour me goûter puis laissèrent les autres.

 

Je l’embrassai immédiatement dans un baiser torride où elle fut un peu surprise de ma réaction. Elle se laissa emporter par nos langues qui se trouvèrent de nouveau. Mes mains caressèrent ce coté qu’ils n’avaient pas encore exploré. Je massai délicatement sa poitrine et mes pouces effleurèrent ses tétons durcis. Ma main droite descendit sur son ventre chaud et continua vers son intimité déjà trempée. Mes lèvres quittèrent les siennes, je descendis et je m’arrêtai sur l’un de ses seins où je fis le tour afin d’arriver au téton en effleurant sa peau de baisers tendres. J’entendis des petits gémissements à cause de mes doigts qui caressaient son petit bouton et de ma langue sur son téton. Je me dirigeai vers le sein voisin pour ne pas faire de jaloux tandis que je pénètrai un doigt puis deux en elle mon pouce caressant le centre de son désir. Des fines goulettes de son désir flottaient à présent dans la pièce et la lumière venant de Neptune s’y reflétait, nous faisant croire qu’on voyageait dans l’espace. Ma bouche descendit encore plus bas, je sens son ventre chaud et continue ma route vers son intimité. Mes lèvres se collèrent aux siennes humides et ma langue commença à recueuillir ce nectar divin. J’entendis des petits cris de joie venant sa bouche. Je continua à la fouiller et à la boire, je sentis ses doigts se caressaient pour gouter à son propre désir. Elle remarqua que ma vigueur fut revenue. Je remonta vers elle pour de nouvau m’emparer de sa bouche dans un baiser brulant, mes mains reparcouraient son corps et mon se retrouva à l’entrée du sien.

 

Nos corps se collèrent en parfaite union dans cette pièce qui ressemblait à un univers de désir et de passion qui n’attendait que nous pour l’explorer. Notre baiser devinrent de plus en plus intense, mes mains caressèrent de nouveau ses fesses divines et je m’insinuai doucement en elle. Je pouvais sentir nos gémissement étouffés par nos langues endiablées. On touchait enfin le sol ou le plafond ou un mur car je perdis tous repères, je la plaquai sur cette paroi et entama un leger va et vient. Je quitta ses lèvres angéliques et j’entendis ses cris de joie du à cette attente qu’elle avait subi et du aussi à cette paroi sembla geler. Je m’apercevais alors qu’on était sur la vitre panoramique. J’accéléra le rythme, nos cris résonèrent dans la pièce, je sentais qu’elle n’allait pas tarder à jouir et moi aussi. Elle me retourna et j’étais maintenant plaqué contre cette vitre. Elle prit le controle du rythme de la pénétration, Neptune reflétait dans ses yeux ainsi que des étoiles. Elle m’embrassa à nouveau, mon coeur battait à toute allure. D’un coup, elle glissa pour se trouver perpendiculaire à moi, je sentais que la pénétration était maximal et elle accéléra. La planète éclaira son corps et me dévoila ses formes qu’on dirait qu’elle ressembla à une sirène sortant de la mer. Je la caressai encore et dans un cri uni, nous jouissions ensemble.

 

Je la redressa doucement et l’embrassa tendrement. nous nous endormions l’un contre l’autre en apesanteur avec l’univers de nos ébats qu’on venait de créer.

 

 

 

Un commentaire pour “En apesenteur (suite)”

  1. […] TO BE CONTINUED […]

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