Je te vois, ça y est ! Mon cœur résonne et s’accélère, je m’approche de toi. On s’embrasse comme des fous, nos jeux de langues tant attendus sont enfin réels ! Ma main te caresse les seins, tant de fois vus à la webcam. Ils sont doux, ses tétons pointent, j’adore ça ma chérie !
On s’éloigne de la gare, prenons un taxi pour aller chez toi. Direction, la rue du Bœuf qui est au pied de la colline de Fourvière dans le vieux Lyon. Dans le taxi, on s’embrasse, on se caresse. Ma main sous ton chemisier, la tienne dans mon boxer, tu me fais déjà bander. Tu me branles doucement, ma main passe sous ta robe et sous ton string. Ta chatte est toute trempée de désir, je caresse tes lèvres humides, ton clito dressé. Tu gémis doucement, je te pénètre d’un doigt, il glisse tout seul.
On s’embrasse fougueusement, le chauffeur de taxi jette un coup d’œil dans son rétro mais on s’en fou. Il peut nous regarder tant qu’il veut, nous sommes trop excités pour y faire attention.
Nous arrivons chez toi, au N°… de la rue du bœuf, à coté d’un petit bouchon lyonnais, nous montons au premier étage, porte de gauche, Véronique est présente pour nous accueillir dans une tenue vraiment excitante. Sous vêtement noir et rouge, surmonté d’un chemisier blanc entrouvert sur une poitrine superbe !
Je lui fais la bise et nous entrons dans ton appartement. Tu nous sers un verre, nous nous asseyons tous les deux sur le canapé, l’un à coté de l’autre et en face de Véronique qui est sur son fauteuil genre « Emmanuelle ».
On trinque à ma venue à Lyon. Je bande toujours, j’espère que Véronique ne voit pas ma bosse sous mon jean ! Hélas, à son sourire en me fixant dans les yeux, elle l’a remarquée. Je suis un peu gêné, tu souris fière de toi ! Ta main se colle sur mon entre jambe et me caresse comme si de rien n’était ! Je rougis… vous vous regardez et j’ai l’impression qu’un simple regard suffit. Je ne sais plus où me mettre, j’ai les joues en feu, mon cœur est oppressé, ma timidité reprend le dessus !!!
Tu m’embrasses à pleine langue, je me détends. Je réponds à ton baiser langoureux et ma main se dirige vers tes seins. J’en oublie complètement Véronique !
Je dégrafe ton chemisier, je te caresse les seins, doucement, délicatement. Tes tétons se dressent sous mes doigts, ma main descends sur ta cuisse, passe sous ta robe et je remonte du bout des doigts vers ta chatte que je sens humide, encore, j’en frissonne !
Je t’embrasse toujours lentement, mes doigts caressent tes lèvres mouillées, ton bouton érigé que je masse doucement. Je te regarde, nos yeux se croisent, je croise aussi le regard de Véronique que nous avons totalement occulté !!! Je la vois se caresser les seins d’une main. L’autre, dans son string, ses doigts s’affairent également. Je suis troublé, elle joue la voyeuse, j’avoue que cela m’excite encore plus !
Tu dois savoir que Véronique adore ça, jouer la voyeuse et ce n’est pas pour me déplaire, loin de là ! Je continue de t’embrasser, te caresser. J’ai envie de te faire jouir sous mes doigts pour commencer. Je caresse ta rosette. Doucement, je vais de ta chatte à ta rosette, elle se détend. J’adore ce moment où j’insinue doucement un doigt dans cet antre de l’interdit !
Je te regarde les yeux mi-clos, tu gémis. Mon majeur s’enfonce lentement, très lentement, tandis que mon index pénètre ta chatte. J’adore être prisonnier comme ça. Je n’ai qu’une envie, là, c’est de te lécher mais je veux d’abord te faire jouir sous mes doigts. Je veux te voir, t’entendre jouir. Je veux que tu fixes mon regard quand tu jouiras. Je veux t’entendre dire »encore » « fais moi jouir mon Amour », je te veux heureuse !!!!
J’entends Véronique qui gémit, ça m’excite. J’accélère donc mes mouvements, tu gémis de plus en plus, Véronique gémit au même rythme, ça me rends fou ! Tu hurles ta jouissance.
– Oui mon Amour, comme c’est bon ! Comme ça, encore, ouiiiiiiiiiiiii.
Je te demande de me regarder.
– Tu aimes ma petite salope ?
– Salaud, fais moi jouir, je t’en supplie ! me réponds tu.
Je fixe ton regard mais la jouissance est la plus forte, tu refermes tes yeux pour en profiter au maximum. Tu es encore plus belle dans ta jouissance !
Véronique hurle aussi en t’entendant jouir. Que c’est beau une femme qui jouit. Alors là, il y en a deux, je suis heureux !
Après tes soubresauts, je t’embrasse à pleine bouche dans un élan d’Amour. Nous nous reposons, collés l’un à l’autre, tu es en sueur. Je te souris amoureusement et tu me réponds par un baiser. Nous regardons Véronique qui nous souris comme pour nous remercier du spectacle offert.
Après avoir bu un autre verre, tu me fais asseoir sur le canapé et m’ôtes mon tee shirt. Véronique toujours dans son fauteuil, déguste ce verre d’une façon très lascive, presque sensuelle ! Tu te mets à genoux entre mes jambes, défais ma ceinture, déboutonnes mon jean, me l’enlèves. Je me retrouve en boxer mais pas le temps de réaliser que tu me le retires aussitôt, je me retrouve nu.
Tu approches doucement ta tête à mon sexe déjà dressé, tu l’attrapes de ta main, sors ta langue de ta bouche et me lèches le gland, le frein en me fixant droit dans les yeux. J’adore cette caresse, j’en raffole ! Tu m’aspires, tes joues se creusent. Je bande de plus en plus, ma queue se raidit au maximum. Tu me branles en me suçant, en me pompant, tu me suces divinement bien. Tu avances ta tête pour que j’aille au fond de ta gorge, c’est génial ! Tu me caresses les couilles en m’avalant, c’est super bon, j’adore ça !
Véronique recommence à se caresser doucement, elle me regarde, elle voudrait bien en profiter aussi je pense, à sa façon de passer sa langue sur ses lèvres.
Je profite de ce moment sublime quand soudain la sonnerie d’un téléphone portable résonne dans la pièce, c’est celui de Véronique !!!!
Tu es imperturbable dans l’action, tu continues de me sucer. Je sais que tu adores ça, je le sens et je suis aux anges.
Véronique s’écrit dans un immense sourire.
– C’est Jean Marc !!!
– Il arrive maintenant ? lui demandes tu.
– Non, répond Véronique, il ne peut pas maintenant, il est au boulot !
Ouf, soupirais-je ! Tu reprends ton ouvrage. J’ai un peu débandé suite à ça mais je ne me tracasse pas, au vu de ton savoir faire ! Véronique est toujours au téléphone, j’ai comme l’impression qu’elle lui raconte ce que l’on fait et que Jean Marc essaie de l’exciter encore plus au téléphone. Ses caresses se font de plus en plus précises mais hélas, nous n’entendons rien de cette communication !
Tu me suces à nouveau et me remets en forme à l’aide de ta langue, tes lèvres, ta salive qui me fait glisser dans ta bouche toute chaude et humide. Je bande très dur ! Tu t’y prends terriblement bien, j’adore ta gorge profonde, tu y prends énormément de plaisir et moi aussi, bien sur !
Mais j’ai envie de changer de position, j’ai fantasmé longtemps sur une position de gorge profonde. Je te demande de t’allonger et de mettre ta tête sur l’accoudoir du canapé, bien en arrière. Je me lève et te laisse la place. Véronique me regarde, ses caresses sont encore plus précises, je la vois avec deux ou trois doigts dans son string, et ils s’activent sérieusement !
Je me demande bien ce que Jean Marc peut bien lui dire au téléphone ? Véronique regarde surtout l’objet de sa convoitise, ma queue durcie de désir, elle entrouvre la bouche, sors sa langue, difficile de résister, mais je viens te rejoindre devant l’accoudoir.
Je te tends ma queue, tu m’embouches d’un seul trait. Je suis au fond de ta gorge, c’est génial ! Je veux maintenant te baiser la bouche, je vais et viens doucement entre tes lèvres serrées Je me retire pour te laisser respirer mais tu me tends ta bouche afin que j’y retourne ! Je m’y enfonce de nouveau, doucement, pour que tu profites au maximum de ma queue. Je vais et viens, tu me caresses les couilles, doucement, tu me les malaxes, j’adore ! Elles sont dures par l’envie d’exploser mon jus mais je me retiens, ce n’est pas facile mais j’essaye !
Je ressors ma queue, la passe sur tes lèvres sur toute sa longueur. Je te caresse les joues, tu me lèches les bourses, j’adore !
– Tu veux que j’explose dans ta bouche, ma petite salope ? lui demandais je.
– Salaud, baise la, ma bouche, je veux t’avaler, et je veux que tu jouisses au fond de ma gorge ! me réponds tu.
Je retourne donc dans ta bouche, tu serres tes lèvres. Je vais et viens, doucement, d’abords. Je me penche pour te caresser les seins ce qui fais enfoncer encore plus ma queue !
Je me redresse et commence mes vas et vient de plus en plus vite, de plus en plus rapides. Je te tiens le cou, je me sers de ta bouche comme de ta chatte. C’est génial, tu adores !
J’entends Véronique gémir de plaisir, nos regards se croisent de nouveau, elle me sourit. Je vais de plus en plus vite. Les doigts de Véronique s’activent aussi, je vais jouir à mon tour. Je ne peux répondre au sourire de Véronique que par un râle puissant, je jouis dans ta bouche, dans ta gorge, je suis aux cieux !
Je me déverse dans ta gorge.
– Avale ma chérie, je sais que tu adores ça !
– Oui mon amour.
Véronique se lâche également, c’est du bonheur total. Je me retire pour que tu puisses respirer mais tu me reprends en bouche et m’aspires pour ne pas en perdre une goutte ! Tu me tètes doucement, j’adore ! Tu presses ma queue pour être sure de ne rien perdre de mon nectar.
Je me retire, complètement épuisé. Je me penche et t’embrasse à pleine bouche, partageant par la même occasion, le peu de nectar qu’il te reste en bouche.
@nge 16/09/2008
Merci à Alex pour la correction
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