16 heures.

Il fait chaud en ce jour de mois d’août à Marseille, je suis dans les embouteillages et cette foutue voiture chauffe.

Une mauvaise journée ?

Pas tant que cela, j’ai rencontré Marilyn, une déesse.

 

Je me rends à Marseille comme chaque dernier vendredi du mois pour affaire, j’ai rencontré Marilyn au restaurant, grande,  cheveux blonds frisés qui lui tombent sur les épaules, quelle crinière… Elle est plutôt timide, ses yeux sont d’un gris bleu d’une grande profondeur, elle vous aspire littéralement quand elle vous fixe mais là, elle n’osait pas me fixer quand je l’ai abordé. Possible complexe de la femme qui plait, elle arbore un décolleté vertigineux, sa poitrine voluptueuse ne laisse pas indifférent. Marilyn est une femme au foyer, le métier le plus dur qui soit lorsqu’on est mère de deux enfants. Aujourd’hui, elle s’est accordée un petit break, une pause, un petit restaurant rien qu’a elle seule sans personne, pour s’évader. Elle est mariée depuis bientôt 15 ans avec un homme d’affaire dont j’ai entendu parlé au cours de certaines de mes réunions sur Marseille ; le monde est petit. Elle aime son mari mais ne s’empêche pas une petite escapade de temps à autre, son homme s’en doute mais finalement ça donne du piment à leur couple, Marilyn aime le et j’avoue que je m’en souviendrais longtemps.

 

Au restaurant je l’ai abordé sans aucune idée en tête, juste histoire de parler, elle était à la table à côté de moi. Nous avons parlé de la ville, le vieux port, Notre Dame de la Garde et la pointe rouge, une ville que j’ai appris à aimer. De fil en aiguille une certaine complicité est née, nous nous sommes tutoyé et elle s’est du coup « décoincée ».

Elle portait un tailleur qui laisse imaginer le portefeuille garni de son mari, marque de couturier que tout le monde connaît, je doute même que cela soit du prêt-à-porter, du sûr mesures à mon avis. Elle mesure environ un mètre soixante dix pour visiblement une cinquantaine de kilos, des jambes qui damneraient un saint, longues, les mollets d’un galbe parfait, des cuisses fines surmontées d’un fessier musclé mais pas trop bombé. Sa cambrure me donne des idées folles, son buste est également fin, l’argument de sa poitrine soutenue par des dessous qui a mon avis, sont à la hauteur de ce qu’elle porte dessus, laisse penser bien des choses.

 

Marilyn n’y va pas par quatre chemins, en sortant du restaurant, elle me demande de l’accompagner à son auto car elle n’aime pas les parkings souterrains. Je ne m’imaginai pas encore que cette femme, belle mais mariée, me tendait un guet-apens. Je la suivais dans les escaliers, la grâce de sa démarche finissait à me rendre toujours et encore plus attiré par cette bombe atomique.

 

Nous arrivons à la hauteur de son 4×4, elle se retourne et me remercie de l’avoir accompagné, se dresse sur ses talons aiguilles pour me déposer un doux baiser sur chaque joues, je me penche légèrement et voilà cette superbe créature qui m’enlace et m’embrasse fougueusement. Etant un homme bien élevé, je la laisse faire sans broncher, je n’attendais que ça mais je n’espérais pas que cette créature excitante trompe son mari. Marilyn est entreprenante, elle caresse mon gonflé au travers de mon pantalon pour descendre et masser mes testicules bouillonnants. Mes mains parcourent son corps frémissant, ses fesses moulées par la jupe de son tailleur, la cambrure de ses reins, ses épaules que la situation rend fébriles. C’est une femme comme jamais je n’aurais cru pouvoir tenir dans mes bras, je me laisse sombrer dans l’abîme profond de ses yeux gris bleu, je glisse maintenant mes doigts dans sa chevelure blonde, je plaque sa bouche contre la mienne et décide de mener la danse.

 

La soulevant en la prenant sous les bras, je pose ses délicieuses fesses sur le capot moteur de son bolide tous terrains, je passe mes mains sous sa jupe pour sentir la subtile dentelle en haut de ses bas blancs, les attaches se libèrent sans mal, je remonte pour sentir sa peau douce, une peau sensible à mes assauts, Marilyn succombe, sa respiration accélère, elle me glisse quelques mots obscènes, elle m’excite de plus en plus. Je soulève sa jupe pour accéder sans peine à son entre jambes, je tombe nez à nez avec un délicieux string d’une qualité remarquable, divines dentelles blanches qui m’ouvre de plus en plus l’appétit. Je le lui hôte, son mont de venus nu et surmonté d’un délicat grain de beauté m’attire, ma tête s’engouffre entre ses cuisses ciselées.

 

Marilyn sait prendre soins d’elle, son odeur attise mon ardeur, je suce frénétiquement son petit bouton gonflé, elle mouille de bien être, ses mains saisissent ma tête et me donne un rythme endiablé, j’accuse afin de garder la cadence et ne pas la décevoir, ma langue se glisse en elle, je la sens trembler et elle gémit, mon est bien mal loti dans ce boxer qui est tremper de mon jus d’amour, je dégrafe rapidement mon pantalon sort mon sexe tendu et prêt à exploser pour m’engouffrer en elle. Mes coups de boutoir donnent la cadence et Marilyn se laisse porter en gémissant, sa respiration est forte, elle continue à me glisser des insanités qui m’excitent, elle le sens et ne s’en prive pas. La tension est à son paroxysme, elle me demande maintenant de la prendre par l’arrière, je me retire d’elle, mon sexe va exploser, de petits spasmes le font tressauter vers le haut. Marilyn se retourne s’accroche au capot et cambre son dos pour s’offrir à moi. La position est follement excitante, cette femme BCBG jupe relevée sûr ses reins cambrés, ses fesses écartées me laisse voir sa petite fleur plissée et ses lèvres humides. Je commence par me baisser pour laper sa divine anatomie. Ma langue s’immisce entre ses lèvres gonflées, remonte sur sa petite fleur plissées qui se dilate de plus en plus. Ma queue dressée va exploser, j’essais de contenir mon envie et continue quelques instant avec ma langue pour me remettre de mes émotions.

 

Elle est offerte à moi, ses jambes perchées sur ses tallons aiguilles lui donne un air vulgaire, ses bas glisses sur ces jambes dignes d’une publicité  pour une marque de collants. Mes mains les parcours pendant que ma langue joue avec son joyau.

 

-Prend moi, prend moi ne me laisse plus attendre…

 

Je me redresse rapidement pour la pénétrer debout, mes mains saisissent ses hanches délicates, je m’applique dans un vas et viens permanant qui la font gémir, mon pouce caresses sa petite fleur pour se glisser dedans, Marilyn succombe à mes assauts. La résonance du parking propage ses gémissements, la jouissance va bientôt l’envahir.

 

-OUIIIIIIIII ne t’arrête pas, ouiiiiiii continue, plus vite, plus viteeee…

 

J’accélère encore, mes coups de boutoir n’en finissent plus, elle lâche de longues plaintes à chaque fois que j’arrive à la garde, mon gland cogne littéralement sur le col de l’utérus, des coups d’électricité m’irradient, mon jus fini par envahir cette petite chatte bouillante qui sert mon par de longs spasmes de jouissance. Je suis resté en elle encore quelques minutes, me penchant pour l’enlacer, lui caresser sa poitrine, embrasser sa nuque. Mon sexe perdant la vigueur que cette superbe créature avait provoqué, je me suis retiré d’elle, Marilyn s’est redressée et m’a embrassé. Nous avons ajusté nos tenues et avons embarqué dans son 4×4.

 

Après une discussion sur ce qu’il venait de se passer elle m’a déposé à mon véhicule stationné dans une rue. Echange de téléphones avec une promesse de ce revoir. Ce jour là, Marilyn m’a envoûté.

 

A suivre…
Marilyn, une femme entreprenante (Partie 2)

 

 

2 commentaires pour “Marilyn, une femme entreprenante (Partie 1)”

  1. La suite sera disponible sur le site demain à 9h00 précise !!!

  2. […] Suite de Marilyn, une femme entreprenante (Partie 1) […]

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