-TOI ?
– Oui moi, baise moi j’en ai tellement rêvé de te retrouver David !!
Mon excitation est telle que l’érection que j’ai me fait mal, un mal de chien bon sang !
Cette femme que je n’avais pas revue depuis quelques mois, celle que je retrouvais chaque vendredi de fin de mois, MARILYN…
Commence alors une folle partie de jambes en l’air. Marilyn, toi la maîtresse endiablée, ton déguisement était parfait.
J’entame donc de longs et grands coups de boutoir, Marilyn aime les rapports vigoureux, son souvenir revient en moi, ses paroles crues, ses insultes. Quels souvenirs !!
Marilyn est de plus en plus expressive, ses cris inondent la boutique, j’accélère mes vas et vient, elle donne de grand coup de bassin pour que je la remplisse totalement, mon gland frotte son vagin, d’insupportables sensations électrifient ma queue, se propage au cerveau, la jouissance est extrême, ma divine maîtresse lâche d’innombrables râles, elle se laisse totalement allé aux plaisirs charnel.
-Oui, OUI, OUIIII, OUIIIIIII !!!!
Je ne peux plus arrêter, mes mouvements sont de plus en plus violents, je sais qu’elle aime ça, je sens que l’orgasme foudroyant qu’elle a eu la quitte, elle ne lâche plus que de petits cris de bien être.
Là je me retire d’elle, je la dépose devant moi et l’aide à se retourner, je sais qu’elle adorait que je la saisisse par son petit cratère brun, petite fleur de toutes les tentations.
Elle comprend, se positionne jambes grandement écartées, ses fesses parfaites me rendent fou, je saisis ma queue d’une main et glisse mon gland turgescent sur sa petite fente jusqu’à atteindre sa petite fleur. Je le glisse quelques secondes pour forcer légèrement le passage, je sais qu’il est inutile d’insister trop et que cette jeune femme désirable est large, et très vite.
Je commence donc à pénétrer ma douce Marilyn lentement, la sensation est merveilleuse, mon amante émet un petit cri, petite plainte de plaisir.
Mon sexe est serré, je sens que je ne tiendrais pas longtemps, Marilyn elle, commence à jouir sous mes assauts, j’accélère brusquement, je suis si bien en elle.
-OH MARILYN, OUI, OUIIIIII
-Continue David, Oui ; prends moi comme ta chienne, je suis à toi !!!
Ma jouissance est extrême, il y a bien longtemps que je n’avais pas pratiqué cette position et mon envie était telle que ma libération fut explosive, j’hurle tel un dément. Je m’écroule sur son dos, embrasse sa nuque. Elle, elle me saisit les fesses et me les masses.
-J’ai toujours aimé tes fesses David.
Rhabillés après nous être enlacé longuement et donné encore d’innombrables caresses, ma diablesse me livre un dernier baiser et nous quittons le magasin bras dessus, bras dessous pour finir par prendre un verre dans une brasserie plus bas dans la rue.
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