Marié cette année, depuis vingt ans,
Je me demande encore !
Moi qui t’Aime, peu souvent !
Mais c’est une métaphore !
Tu parles peu, tu m’ignores ?
Nos enfants sont grands,
Que reste-t-il encore,
De nos amours d’antan ?
Alors de deux, je devenu seul,
Tel un fantôme, sans linceul
Je te regarde avec des yeux
Qui ont été amoureux !
Le temps n’est pas sagesse,
Non ! Loin de là !
Mais tu me délaisses…..
Comme un chien à la SPA
Ô passé lointain,
J’ai du manquer le train !
Sur les rails de l’Amour,
Je regretterais toujours
Comme on s’aimait, ma chérie !
Je me souviens, un certain dimanche,
Au mois d’avril, te rappelles-tu ?
Tu prenais ta revanche
Nous ne connaissions pas mon lit !
Tu étais toujours blanche !
Mais tu étais ravie
Que je prenne ton dimanche
Sur tes seize ans, je le vis !
Alors, tu m’a souris
Eclatante tu étais,
Jouissance, tu connaissais !
Un quart de siècle plus tard
Je suis toujours la
Mais je ne suis plus ton phare
Pour éclairer ta voie
Quand je fais le bilan de ma vie
Si, elle existe encore !
C’est le moindre de tes soucis
Ta vie est au dehors !
Je me laisse donc aller,
Sur le net, exprimer
Dans le forum ici
Ou je compte sur les amis
Je ne suis pas à plaindre,
Oh ! Non, loin de la !
Je n’ai plus rien à craindre
Et maintenant à Dieu va !
Ce que j’espère encore, ici,
C’est d’exister, non pour mon corps !
Mais pour la vie, qui est « Trésor »
Et que beaucoup, oublie !
Pascal ! Fais donc raison,
A ton âme qui,
L’enfer est ta maison,
Ton cœur est paradis !
Ceci est mon histoire
Histoire de ma vie !
Mais je sais qu’elle est noire !
Je l’espère en gris !
2006
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