Ce matin tu t’es levée avant moi, je te retrouve dans le salon debout accoudée au bar qui sépare la pièce de la cuisine.
Alors que tu approches ton bol de ta bouche, cette nuisette que tu as toujours eu un peu courte se soulève et me laisse entrevoir la base de tes fesses.
Il ne m’en faut pas plus pour sentir mon désir prendre le pas sur la raison.
Je m’approche et je passe sous ta fesse droite, la pulpe de mon doigt. Puis sous la gauche.
Imperturbable, tu continues de boire ton café comme si de rien n’été. Mon doigt décide donc de s’aventurer plus en avant et remonte le long de ta fente.
Toi qui ne désire rien montrer, je sens tes fesses se contracter à mon passage.
Mes mains viennent se poser sur tes épaules, et délicatement je commence à les masser.
Tu poses ton bol et ta tête s’appuie sur ma main. Par ce mouvement, tu approuve le désir qui s’est emparé de moi. Qui s’est emparé de nous !
Je me colle à toi et tu sens mon sexe en érection contre tes fesses. Dormant nu et n’ayant pas pris la peine d’enfiler quoi que ce soit, il est là, déjà fièrement dressé.
Mais ce n’est pas lui que j’ai envie de satisfaire ce matin.
Je te retourne, pousse ton bol et tes tartines de sur le comptoir. Je t’agrippe par les hanches et te soulève pour te déposer sur le bord du bar.
A ma vue, ta fleur intime se découvre, qu’elle est belle, lisse et vierge de tout poil.
Je t’écarte les cuisses, et approche ma tête doucement de ce monde merveilleux.
Alors que ma langue commence à parcourir tes grandes lèvres de long en larges et en travers…l’excitation fait apparaître ton petit bouton d’amour qui se gorge de plaisir.
Je tourne autour, je joue avec, le mordille, le titille.
Ma langue s’insinue en toi, le goût de ton plaisir se répand sur mes papilles, c’est un régal !
Alors que ma langue s’affole en toi, mon nez, ce retrouvant sur ton bouton, te fait réagir comme si c’était mon doigt qui jouait avec.
Tu n’en peux plus, tes mains saisissent ma tête, tu enfonces mon visage autant que possible entre tes cuisses que tu resserres.
Je ne peux plus respirer, mais quel bonheur de te sentir jouir sur ma langue.
Puis tu relâche ton emprise, je lève la tête et quelle merveilleuse vision.
Je vois ton visage d’ange et tes yeux brillant de bonheur.
Laissez un commentaire
Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.