Petite langue caché dans tes recoins, friponne…
De ton âtre d’Amour,
Tout ton corps frissonne
De caresses alentours.
Et ma verge étriquée
Que tu as mise en bouche,
Prête à te pénétrer
Tel un oiseau mouche
Salivant le nectar
Qui suinte au bord des lèvres
Tu n’en es pas avare,
Tu sais, j’en ai la fièvre
Explosant sur ton visage
Ma semence d’Amour
Tel un animal sauvage
Sur le retour…..
Alors tu avale ce calice
Ce nectar que l’homme fourni
Et ce, sans avarice
A toi, belle de nuit.
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