Il fait noir, un noir intense. Encore quelques secondes et mes yeux s’habitueront à l’obscurité, du moins je l’espère car je ne me sens pas rassurée ici. ..

Je suis peut être inconsciente d’avoir suivi à la lettre les instructions qui m’étaient destinés sur ce papier glissé sous ma porte ce matin.

«Quand sonnera l’heure de mon désir, tu seras la…n’est ce pas ? Rend toi ce soir  sur les coups de 23h a cette adresse… »  Au dos,  une rue, un numéro, un étage…

Et ce billet était signé, Mr. C.    A cet instant je fus véritablement charmée par cette initiative plutôt excitante. Je ne le connais que depuis quelques jours, et ce Mr C  semble décidé à passer à l’acte.

C’est donc avec une certaine excitation que je pris ma voiture le soir venu pour me diriger vers ce lieu de rdv. Ah mon petit GPS, que je t’apprécie en cet instant, hop je rentre l’adresse et me laisse guider,  sans réfléchir au chemin, ce qui me laisse tout le loisir de rêver à ce qui m’attend au bout de la route. Subtil mélange  de nervosité et de désir. Nous n’avions avec  Mr C, échangés que de doux  baisers, et de sages caresses, la perspective de passer a la vitesse supérieur me donnais des frissons.

Pour l’occasion je m’étais paré de mes plus jolis dessous, mon ensemble noir et rouge, soutien gorge à dentelles fines offrant à ma poitrine à galbe audacieux, petit string ne cachant que l’essentiel. J’avais par-dessus tout ca, enfilé une petite robe noire  prés du corps et  très légère,  après tout, les nuits sont chaudes en ce mois de juillet, je peux me le permettre….

Quel est donc cet endroit ? Je ne m’étais jamais aventuré dans ce quartier de la ville, et pour cause, ce n’est vraiment pas très accueillant. Les rues sont très peu éclairées, les immeubles ont des allures d’entrepôts  désaffectés, et je ne vois strictement personnes dans les rues.. Je ne sais pas pour le coup si c’est plutôt bon ou mauvais signe.

Me voici rendu. Je me gare et reste un moment sans bouger dans ma voiture, à me demander ce que je fais la. L’angoisse monte  en moi en pensant que je ne connais pas vraiment ce Mr C., il aurait pu m’attirer ici pour n’importe quelle raison et ….

« Allons,  arrête de te prendre pour l’héroïne d’un thriller de mauvais gout et va t’envoyer en l’air ma belle ! … »  Le courage me revint en me souvenant du sourire charmeur de mon Mr .C, de ses mains viriles me caressant le ventre et de ses levres sensuelles aimant  se poser sur les miennes.   Hum, tout est excitant chez lui, le genre d’homme qui vous fait vous sentir toute humide avec juste un regard, une parole, un geste…Le genre d’homme qui vous donne des frissons quand il vous murmure à l’oreille que vous êtes incroyablement belle.

Me voici donc en train de pousser la porte d’un immeuble plutôt sinistre, je m’avance vers l’ascenseur pour accéder au 4eme étage…porte 5a. Tout en appuyant sur le bouton pour l’ouverture des portes, je fus pris d’une angoisse oppressante… non, pas l’ascenseur, je vais prendre les escaliers.

J’entame donc mon ascension ….nerveuse…excitée… j’ai la gorge serré, mais qu’est ce qu’il m’arrive…. J’essaye de ma calmer un peu, je monte lentement les marches, je reprends mon souffle.

Clic…. Il fait noir…..

La minuterie automatique ! Merde !  Je cherche à tâtons  l’interrupteur qui pourra me sauver de la nuit pesante tombée si brutalement dans cette cage d’escalier. Ca y est, enfin mes yeux apprivoisent  l’obscurité, je distingue les marches, je continue d’avancer, plus que 2 étages….

J’espère  vraiment qu’une nuit torride m’attend là haut ! Je l’ai amplement mérité.

J’arrive au bon étage, je parcours des yeux le couloir éclairé, j’arrive au bout…Sur le vieux parquet qui habille le sol mes talons font un bruit incroyable, briser le lourd silence qui régnait ici me met mal a l’aise, je marche plus légèrement…je me fais discrète sans trop savoir pourquoi.

Le  5a, nous y somme…. Je me surprends à rester la, immobile devant cette porte fermée, je ne me sens plus tres sure de moi, et je sens mon cœur battre tres fort.  Je  frappe quelques coups et j’attends une réponse qui ne vient pas. Je me decide alors a ouvrir la porte, c’est ouvert, au contact froid de la clenche en ferraille ma peau réagie, et un frisson me parcourir le dos, je sens mes tétons se durcirent  sous le voile de ma robe.

De nouveau suprise par une obscurité presque totale, je m’engouffre dans cet appartement, sentation oppressante, encore…

« C ? , tu es la ?  … »

Une petite fenêtre au fond de la pièce apporte une teinte bleutée a ce décors si sombre, je visite des yeux chaque recoin de la pièce espérant apercevoir une silhouette familière…

C’est alors que j’entendis le son de sa voix…  « Met toi face au mur et ne bouge plus ! »

.sa voix qui d’habitude se faisait douce et prévenante était a cet instant autoritaire et grave.  Je le distinguais enfin, assis, la a quelques mètres de moi.  Sa silhouette se  dessinait  peu à peu dans la contre lumière de la nuit. Je ne voyais pas ses yeux et cela me troublait, je m’approche doucement … et m’empresse de lui dire d’un ton amusé «  bon alors ou sont les bougies, les pétales de rose et le champagne ?!  »

«  J’aimerai que tu te taises, n’avance plus et mets toi face au mur. »

 D’abord confuse   par ce nouveau personnage que j’ai en face de moi, je me résigne et m’exécute,  trouvant la situation finalement très excitante.  Je me tiens tout prés du mur, mes seins le frôlent,  j’écarte légèrement les jambes et attend un signe de sa part.  J’ai envie de fermer les yeux, m’abandonner entièrement à  cette ambiance pesante et électrique.  Le désir est presque palpable dans toute la pièce.

«  Déshabille  toi… et caresse toi, ne te retourne pas. »

Mon cœur s’affole à ses paroles, je me sens déconnecté, et sans m’en rendre conte je fais glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. Le tissu glisse sur mon corps,  et tombe a mes pieds.  J’ôte  mon soutien gorge délivrant  ma poitrine gourmande, gonflé par tant d’excitation.

Toujours dos a lui  je fais glisser lentement  une main sur mon ventre et l’autre sur mes hanches, et commence  à me caresser. Je m’attarde sur mes seins, j’effleure de la  paume mes tétons.  Je  me penche un peu en avant,  prend appuis au mur pour des caresses plus précises. Je caresse  mon minou à travers mon string que je sens trempé, je n’avais pas réalisé a quel point je mouillais déjà.

J’écarte légèrement la dentelle et touche mon clito déjà tout tendu, Mmm je ne peux retenir un râle de plaisir,  je me pénètre d’un doigt, puis de deux et débute des vas et viens rapides… je sens mes joues rougir  a ce plaisir solitaire.   Je n’arrêtai pas de penser a Mr C. qui m’observe,  qui m’examine, qui juge ma façon de faire …peut être se  caresse t’il lui aussi ? Ala pensée que son soit gorgé de désir pour moi je pousse un petit Mumm de contentement.

J’entends sa respiration derrière moi, il est tout proche, il vient.

Il me surprend en me plaquant entièrement contre le mur, son corps collé au mien, je ne peux plus bouger. Je  devine son désir, je sens sa verge tendue à travers son pantalon.  Il s’empare presque violement de mes  poignets et les monte au dessus de ma tête.  Cette soumission je l’accepte et m’en délecte,  les mains plaquées au mur, mon  corps est sans défense, offerts a toutes ces perversions.  Je sens son souffle brulant dans ma nuque,  ses lèvres se posent enfin sur moi, dans mon cou, j’ai l’impression de perdre pied , c’est tellement bon. Je  suis ivre de désir et chacun de ses baisers me rend dingue.  Sa langue devient elle aussi entreprenante.

J’ai envie de sa bouche sur la  mienne,  oh vite, viens m’embrasser ou je vais défaillir… Ma bouche entrouverte est un appel à ses baisers, un appel auquel il répond sans attendre.   Il trace avec sa langue les contours de ma bouche, et nos lèvres se rejoignent enfin. Nos baisers sont torrides, profond et sont un appel au des plus explicite.

Il  dirige ses mains vers ma poitrine  et s’empare des mes seins, il les caresses avec  ardeur. Il se plait à titiller mes tétons entre ses doigts en y mettant une  légère pression.

Mon l’appel et inconsciemment j’ondule  mes reins sous ses yeux.  Il agrippe alors mon string et le fais descendre lentement jusqu’ en bas de mes chevilles, il se retrouve alors a genoux derrière moi, son visage si prés de mes fesses que je peux sentir se respiration sur ma peau.  Ses mains remontent le long de mes jambes…. Il prend son temps  ….je sens ses doigts se promenant sur mes mollets, mes cuisses, suivit de baisers prenant le même chemin.   Il s’attarde maintenant sur mes fesses,  il me mordille, je sens sa langue tracer des sillons brulant sur ma croupe, je sens ses lèvres qui se font pressantes. 

D’un geste brusque, il m’oblige à écarter d’avantage les jambes. Il  glisse alors avec  empressement sa langue entre mes cuisses et vient recueillir une goute de mon excitation qui coulait le long de ma jambe.  Je ne peux me retenir de gémir quand je sens sa bouche se poser enfin  sur ma chatte.   D’un cout de langue experte il entrouvre mes lèvres et vient doucement  lécher mon clito. Sa bouche est d une sensualité folle.

Mumm je me cambre  sous l’intensité de ses caresses,  je l’entends gémir à son tour, ce qui décuple mon excitation. Il fait aller et venir ses doigts dans mon vagin, il tient fortement mon cul avec son autre main.. 

Je n’en peux plus, je sens monter l’orgasme au moment ou un de  ses doigts vient frôler mon autre petit trou.    Un cri m échappe au moment ou je jouis, je me mords la lèvre…

Je n’ai même pas le temps de reprendre mes esprits que je sens ces mains puissantes qui me retourne d’un coup sec, je me retrouve face à lui, enfin !

 Après quelques baisers passionnés il me demande de me mettre à genoux et de « m’occuper «  de lui.    Mm oui,  enfin je vais pouvoir le gouter à mon tour, me délecter de son corps, le faire frémir.  Je caresse a travers son pantalon son   gonflé,  puis je le déshabille  lentement, je fais glisser son boxer et découvre sa verge tendue toute offerte a mes baisers.   Je l’empoigne et appuie mes lèvres en des baisers sensuels le long de sa verge, sur son gland, rouge de plaisir…. Sur ces bourses que je m’applique à lécher, je fais aller et venir ma langue partout, presque frénétiquement. Je m’arrête pour caresser son torse, ses fesses, j’embrasse son nombril.

Je lève les yeux et croise son regard. Il a la fièvre, je le sens il  est ivre de désir, et je sens monter en moi une nouvelle bouffée de chaleur, je sens mon vagin se contracter et une coulée de mouille vient ruisseler sur ma cuisse.  Que c’est bon de le voir ainsi en attente de mes caresses.   Je ne le fait plus attendre et le prend dans ma bouche, je l’entends alors gémir, ce qui m’encourage à continuer de plus belle.

Ma bouche va et vient sur son sexe, ma langue s’attarde sur son gland que je suce avec gourmandise telle une friandise.   Je l’enfonce jusqu’au fond de ma gorge, et accélère mes vas et viens. Il gémit de plus en plus fort, je sens qu’il va bientôt venir.

Il m’arrête, me relève et me  pousse vers une table qui se trouvait au fond de la pièce. Je me retrouve de nouveau debout dos à lui, pliée sur le rebord de table, à sa merci.  « Prend moi ! »

Il ne se fait pas attendre, il se place derrière moi et je le sens entrer en moi…Mmm nos râles de plaisirs se font entendre  au rythme de ses coup de reins.  D’un bras il enlace mon ventre pour m’empaler encore plus profondément, il empoignent mes fesses et les écarte  pour apercevoir mon petit orifice. Il me pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite, tellement fort que je me retrouve plaquée complètement sur la table. Mes seins sont en contact avec le bois froid, mes tétons se crispent  ….il va venir en moi. Je sens alors ses doigts sur mon clito, il veut qu’on jouisse ensemble.  Il  continue son martelage, Mmm je ne contrôle plus rien, j’ondule de tout mon corps, son corps suit parfaitement le mien, encore  un peu, oui encore. !!

Il me serra très fort et je sentis sa semence couler en moi alors que je gémissais bruyamment…..

Ivre de tant de plaisir nous nous allongeons  par terre.  Et je viens me lover dans ses bras qui m’accueillent avec tendresse.

Quelle baise…

Mr C.  à l’imagination fertile, je vais devoir être a la hauteur pour les prochaines fois, a moi de jouer maintenant…

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