Tu es en train de travailler, j’entre dans ton bureau sans que tu ne tu puisses t’en apercevoir. Je m’approche doucement de toi. Je te regarde travailler, tu es concentrée. Ma main vient doucement frôler tes cheveux, je les dégage lentement de ton cou et viens déposer un baiser dans le creux de ton épaule. Tu sens ma présence et pourtant tu ne me vois pas. Tu sens ce baiser et sa chaleur mais je ne suis pas là. Tu sens ma respiration mais tu ne l’entends pas.
La température monte, ton corps se chauffe, tes seins se durcissent. Une boule se fait sentir dans ton bas ventre. Une envie te monte à la tête, ton esprit devient coquin.
Tu te laisserais bien abandonnée à mes caresses, à mes baisers. Ton téléphone sonne, mon nom s’affiche. Etrange sensation… Je t’annonce que je ne suis pas loin, très proche de toi. Je te demande alors comment tu te sens. La chaleur est de plus en plus intense, ta respiration s’accélère. J’ai envie de toi, par ces quelques mots tu lâches un grand soupir.
Je te demande de déboutonner ton chemisier. Tu t’exécutes et je te demande de caresser tes seins à travers le tissus de ton soutien gorge. Tes tétons sont durs, tu les pinces, tu les roules entre tes doigts. Tu dégrafes ton soutien gorge et retire ton chemisier. Tu mets ton mobile en main libre pour libérer ta deuxième main.
Je te demande alors de relever ta jupe. Ton intimité est déjà bien trempée et tu ne manques pas de me le dire, tu veux m’exciter aussi.
– Plus un mot, je veux m’occuper de toi, tu es à moi, je te veux, je veux te faire jouir de mes paroles, de ma voix.
Je te demande de caresser tes cuisses, sans abandonner ta poitrine.
– Caresse toi entre les jambes, sans toucher ton sexe. Contourne-le, frôle-le. Je ne veux pas que tes doigts s’initient trop rapidement. Je veux te faire languir, je veux te faire désirer ces caresses.
Je te demande de baisser ton string, tu le fais rouler sur tes cuisses d’une main, tu ne veux pas retirer celle qui est sur ton sein. Tu ne veux pas risquer de relâcher la pression.
Après avoir posé ta lingerie sur le bureau, ta main revient entre tes jambes et tu reprends tes caresses.
Mets ton doigt juste au dessus de tes petites lèvres. Avance le jusqu’à ce que tu sentes que tu vas les toucher, mais ne les touche pas. Sens juste ce léger contact entre ton doigt et tes lèvres si chaudes.
Tu n’as qu’une envie, que je te demande de te caresser. Tu remontes ton doigt jusqu’à ton clito, tu joues le même jeu qu’avec tes lèvres. J’ai envie que tu prennes beaucoup de plaisir. Tu sens ton sexe couler entre tes jambes, tu es trempée, tu es très excitée.
– Maintenant, de ton doigt, tu vas écarter tes petites lèvres, doucement. Tu vas mouiller ton doigt de ton excitation et le remonter sur ton clito.
Un râle s’échappe alors de ta bouche, tu gémis. Tu sens ton clito gonfler, tu le caresses, tu tournes autour avec ton doigts.
– Exerce une légère pression dessus, sens le bien. Sens bien ton doigt te caresser. Ecarte encore plus tes jambes et avec ton autre main, tu vas t’occuper de ton sexe. Tu vas te pénétrer d’un doigt, puis de deux
Ton sexe est trempé, il est inondé de ton excitation. Tu imagines ma langue qui te lèche, ma bouche qui te suce, qui t’aspire le clito.
– Relève un peu tes fesses, je veux que tu t’occupes de ton petit trou, que tu montes en puissance encore plus.
Tu t’exécutes sans un mot, juste un gémissement, un râle s’échappe de ta bouche. Tu mouilles bien tes doigts et te caresses entre tes deux trous. Tu passe ton doigt mouillé derrière. Tu le mouille bien comme le ferait ma langue. Tu es prêtes à jouir, je le sens mais je veux que tu résistes encore. Je veux et je vais te pousser à bout. Je te demande de te calmer des que tu sens arriver le point de non retour.
– Maintenant que tu as bien mouillée ton petit trou, je veux que tu le pénètre avec ton doigt en même temps que tu en as deux dans ton sexe.
De l’autre main tu t’occupe toujours de ton clito. Tu tournes autour et appuis dessus pour bien le sentir. Il est gonflé et dur. Ta respiration est très forte. Tes gémissements de plus en plus forts. Je te sens monter, je te sens venir. Je te demande de t’enfoncer encore plus. Tu ne tiens plus.
– hummm vas y, je veux t’entendre jouir. Je veux que tu ne te retiennes plus, je te veux à moi, que tu jouis très fort.
Tu es sur un petit nuage, tu es essoufflée. Tu fermes les yeux et m’imagine là, à tes côtés. Et pourtant je ne le suis pas. Tu veux ouvrir les yeux et me regarder mais tu ne peux pas me voir. Je te dis que j’ai adoré t’entendre jouir mais pourtant tu ne m’entends pas.
Doucement, tes paupières s’ouvrent , la pièce est plongée dans le noir. Une lumière apparaît, c’est celle de ton réveil. Il est 4h du matin, tu réalises alors que ce n’était qu’un rêve, mais quel rêve.
Laissez un commentaire
Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.