Il est 10h, le soleil brille et me réveille, je n’ai pas baissé mon store. Un sourire se dessine sur mon visage, c’est dans quelques heures que je vais te rejoindre. Je prépare mon café et déjeune. Je file vite sous la douche, on s’est donné rendez vous à midi à la gare et je ne veux pas être en retard, je ne veux pas te faire attendre.

Me voilà parti. Tu m’envois un SMS pour me dire que tu es dans le train. Je prends le métro pour venir t’accueillir sur le quai.

Je suis enfin arrivé, il y a du monde sur le quai. Je jette un œil à droite puis à gauche. Je ne te vois pas, je m’assoie sur un siège en attendant le prochain train. Le voici, seras tu à son bord ? J’ai hâte de te revoir. Les portes du train s’ouvrent, je te vois, tu descends et te dirige vers moi. Je me lève et tu es devant moi, nos bras s’ouvrent et nous voilà enfin ensemble. Je te serre fort contre moi et tu en fais autant. Je soupir de ce plaisir. Ma main vient se poser sur ton visage, je caresse ta joue. Tu lève la tête et j’approche mes lèvres des tiennes pour y déposer un baiser. Nos langues se mêlent et se cherchent. Nos mains caressent nos corps. Plus rien n’existe autour ne nous.

Je prends ta main et nous dirige vers le métro. Nous sommes sur le quai, on se dépêche, le métro est là, on monte et on reste debout alors qu’il y a des sièges de libres. Pourquoi s’assoir alors que debout on est collé l’un à l’autre. On continue à s’embrasser à s’exciter. Tes caresses me donnent des frissons et je sens que les miennes ne te sont pas indifférentes. Tu as les bras autour de ma taille, sous mon trois quart qui te recouvre. Mes bras sont sous ton manteau, nos mains sont à l’abri de tout regard.

Je profite de cet avantage pour caresser tes hanches, tes fesses. Je te plaque contre moi, tu peux sentir mon contre ton ventre. Tu me regarde et m’embrasse langoureusement. On nous regarde mais qu’importe, on se fout de ce que peuvent penser les gens. Nos respirations s’accélèrent, elles sont au même rythme. Ma main vient caresser ton ventre sous ton pull. Je sens la chaleur de ta peau, je soupir. Mes doigts descendent un peu plus en passant sous ton pantalon. J’arrive à hauteur de ton string et continu mon chemin pour arriver sur ton intimité. Tu es excité, tu viens mordiller mon oreille au moment ou mon doigt vient se poser sur ta toison humide.

Nos mouvements, même invisibles, nous trahissent un peu. Je jette un œil sur les autres passagers, certains détournent le regard. Je profite qu’un minimum de monde risque de nous voir pour introduire un doigt en toi. Tu laisse s’échapper un gémissement au creux de mon oreille, ce qui a pour effet de me donner cette sensation étrange dans le ventre, cette boule indescriptible…

Nous arrivons à destination. On descend malgré nous, on était si bien. Cela ne peut qu’amplifier notre excitation, nos envies. On passe notre après midi à se balader dans Paris, le Trocadéro, les alentours du Louvres, pleins d’endroits auxquelles on ne porte pas trop d’attention car ce que l’on veut surtout est de profiter d’être ensemble, se regarder, se caresser, se taquiner.

La nuit est tombée, il commence à se faire tard, la journée est passée si vite. Nous sommes près d’un par cet je te propose de nous y installer. Il y a très peu de monde. On s’installe sur un banc et je te prends encore dans mes bras. Je te dis combien je suis bien avec toi, combien c’est bon de te sentir serrée contre mois.

Voilà maintenant plus d’une heure qu’on est sur ce banc et plus personne ne passe. Cela nous inquiète un peu. Aurions-nous oublié de regarder à l’entrée du parc s’il ne fermait pas à une certaine heure ? On se lève et on se dirige vers la sortie et en effet, le portail est fermé. Tu attrape ma main et me demande de te suivre. Tu me dirige au milieu du parc en me disant qu’on a donc tout notre temps pour sortir et qu’on aura qu’à escaladé le portail pour repartir. Soyons fous !

Il y a un petit vent frais et pourtant on n’y porte que très peu d’attention. Nous arrivons au milieu du parc et là tu me saute dessus et m’embrasse fougueusement. Tu passes passe tes mains sou mon pull et mon t-shirt. Je sens tes mains froides sur ma peau. Je découvre tes intentions. Je ne reste pas indifférent à tes envies et je commence à te caresser et te déshabiller. Tu enlèves la boucle de ma ceinture et déboutonnes mon jeans pour passer la main sur mon boxer et sentir mon durci. Ma main en fait de même avec ton pantalon. Je passe mes mains sur tes fesses, je les écarte pour passer mes doigts entre pendant que je dévore ton cou avec de tendres baisers. Mes doigts se glissent sous ton string. J’écarte tes petites lèvres, mouille mes doigts de ton excitation. Tu fais descendre mon jeans et tu te baisse en même temps ce qui retire mes doits mouillés de ton sexe.

Ta bouche vient se poser sur mon boxer. Je peux sentir la chaleur de ton souffle au travers du tissu alors qu’il y a ce vent frais qui glisse sur mes cuisses. Tu prends ma main et viens lécher mes doigts mouillés tout en me regardant droit dans les yeux. Je me baisse pour venir les lécher avec toi, pour qu’on partage le fruit de ton excitation. Tu baisse doucement mon boxer et libère mon sexe. Ta langue vient me lécher de bas en haut et fait le tour de mon gland. Tu me prends en main, me caresse. Ta main accompagne ta langue dans un rythme effréné. Je te regarde jouer avec, tu m’excites et me rends fou. Ton regard croise le mien et d’un m’enfonce dans ta bouche. Mon est au chaud, je sens tes lèvres glisser sur mon membres, je ferme les yeux, que c’est bon…

Je te relève, je n’en peux plus. J’ai envie de m’occuper de toi, j’ai envie de ton sexe. Je baisse ton pantalon et t’assoie sur le banc. Je relève tes jambes, tu les tiens en l’air alors que je m’agenouille. J’écarte tes fesses afin que tu t’ouvre à moi. Ma langue vient contourner tes petites lèvres qui ruissellent. Je viens te lécher doucement, je te goute, je me régale de ton nectar. Je viens titiller ton clito, je le suce. Mon doigt vient se joindre à ma langue pour venir s’enfoncer en toi. Un râle s’échappe de ta bouche, tu te mords les lèvres. J’introduis un deuxième doigt pendant que je continus sur ton clito. Mes vas et viens sont de plus en plus rapide et tes gémissements de plus en plus fort. Je sens que tu ne vas pas tarder à jouir et tu me le confirme en laissant s’échapper de petits cris. J’accélère le mouvement de mes doigts et j’aspire ton petit bouton entre mes lèvres ce qui à pour effet de faire trembler.

Tu as les jambes en coton mais tu trouve quand même la force de te mettre debout face au banc et tout en te cambrant, tu me demande de te prendre, que tu veux me sentir en toi. Tu écartes les jambes et je viens me placer derrière toi. Mes mains caressent ton dos, redescendent sur tes fesses. Tu passe la main entre tes jambes et prends mon pour le diriger vers le tiens. Je te laisse mener cette danse. Me voilà à l’entrée de ton sexe et tu bouges ton bassin d’avant en arrière pour que je m’enfonce en toi. A l’uni son nous lâchons un râle de bonheur quand tu recule d’un coup pour que je vienne buter au plus profond de ton intimité. J’agrippe tes hanches et je fais de longs vas et viens en toi. Tu t’agrippe au banc pour ne pas tomber sous mes coups de reins qui sont de plus en plus intenses. Tu lèves une jambe et pose le pied sur le banc pour que je puisse m’enfoncer encore plus, pour que tu me sentes mieux. J’amplifie d’avantage mes coups, on peut entendre nos gémissement dans tout le parc, on peut même entendre nos claquements lorsque je viens buter contre tes fesses. Tous ces bruits, cette ambiance, le risque de nous faire surprendre nous excite au plus haut point et vont vite avoir raison de nous.

Tu ne peux te retenir de gémir fort, tu te relèves un peu et moi je me baisse pour venir t’embrasser et caresser tes seins. Tu me dis que tu vas jouir. Je ne tiendrai pas longtemps. Joue contre joue, je m’enfonce encore plus en toi, nos râles et nos cris se font très forts lorsqu’on jouit, qu’on se fout totalement qu’on puisse nous entendre. Je reste en toi et te serre fort contre moi. J’aime cette sensation de t’avoir contre moi, cette sensation qui me fait vibrer et trembler lorsque je te fais l’amour…

A Silkdream

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